La caisse nationale d’assurance maladie annonçait, il y a quelques années, que les arrêts de moins d’une semaine représentaient 5% des indemnités journalières, et 50% du nombre de jours d’absence. En d’autres termes 5% en valeur, mais 50% en volume. C’est donc la partie immergée de l’iceberg…
Ce que dit aussi la caisse nationale d’assurance maladie c’est que les absences courtes sont sensibles au phénomène épidémique (grippe, gastro, etc.), mais aussi au contexte socio-économique. En clair, cela veut dire que dans les périodes où le chômage baisse le micro-absentéisme augmente et que la situation familiale impacte de façon significative les absences de courte durée. Ce dernier argument laisse entendre que ces courtes absences ne sont pas seulement dues à la maladie. Il y a donc des marges de progression…
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